Je ne suis pas du genre alarmiste, mais quand mon amie m’a raconté ce qui était arrivée à sa fille, j’en ai eu des frissons. J’ai tout de suite pensé à ma Biquette, à ses copines, à ma nièce, à ma voisine…
Elles auraient pu, elles aussi, être les victimes d’une histoire semblable dont les conséquences sont loins d’être anodines.
Cette soirée-là fin avril, quatre ambulances ont été appelées juste dans un petit périmètre entre l’avenue St-Laurent et Duluth. Quatre jeunes femmes étaient sorties pour s’amuser, danser en boite et en sont reparties, bien malgré elles, droguées au GHB, communément appelée la drogue du viol ou du vol.Lire la suite »