Ma visite au Domaine de la Rose de Lancôme, une merveille !

Il n’y a pas de hasard et la vie fait parfois si bien les choses… Mon histoire avec Lancôme ne date pas d’hier puisqu’elle est intimement liée à mes souvenirs de petite fille. J’ai tant de fois observé la routine de beauté et maquillage de ma mère qui utilisait déjà Lancôme à l’époque. Si je ferme les yeux, je me souviens encore de l’odeur divine de sa crème teintée  « Bienfait du Matin ».

Le pouvoir olfactif peut nous transporter en quelques secondes au coeur de notre enfance!

Lancôme transmet une certaine idée de la tradition qui se poursuit d’une génération à l’autre. Il y a là quelque chose de bienveillant et c’est exactement ce que je perpétue avec ma fille Billie.

J’ai l’immense privilège d’être l’égérie Lancôme pour le Québec et suis fière d’être associée à une marque dont je partage entièrement les valeurs, notamment celle du bonheur que je cultive au jour le jour.

Début juin, j’ai été invitée à un voyage de presse pour la marque afin de découvrir Le Domaine de la Rose tout récemment inauguré. Une expérience incroyable, fort enrichissante et poétique…

C’est à Grasse dans le sud de la France que se trouve Le Domaine de la Rose, fleur emblématique de la marque. Ce site unique, acquit il y a deux ans par Lancôme, existe depuis plusieurs générations et appartenait à une famille déjà pionnière de l’agriculture biologique.

On a parfois tendance à penser que les grandes marques luxueuses sont forcément à blâmer et ne font pas le nécessaire pour atteindre des objectifs environnementaux. Chez Lancôme, c’est tout le contraire; cette transformation vers la durabilité, la traçabilité, la transparence et la réduction de l’empreinte écologique est au coeur des préoccupations. Lancôme a su évoluer et leur démarche est tangible.

Françoise Lehmann, directrice Générale Internationale de Lancôme souhaitait qu’il en soit de même avec Le Domaine de la Rose et me racontait qu’elle s’était personnellement engagée auprès de l’ancien propriétaire à ce que ce projet soit exemplaire en tout point et respecte les habitudes de l’endroit. Elle a tenu sa promesse.

Ma longue discussion avec l’horticulteur en chef, Antoine Leclef était passionnante. Son enthousiasme et son érudition sont tels, qu’en revenant à Montréal, j’ai eu envie d’en connaitre davantage sur le sujet. Je ne regarde plus les fleurs et plantes de mon jardin de la même façon!

Ce domaine agricole et horticole est un havre de paix où on y pratique une polyculture raisonnée et biologique. La star, c’est la rose Centifolia qu’on retrouve, entre autres, dans le parfum La Vie est Belle, mais on y fait aussi pousser iris, verveine, romarin, jasmin, lavandin, immortelles, etc…

En procédant de cette façon, on évite que les maladies se propagent, car certaines espèces font barrage et ainsi protègent les autres. Tout est récolté à la main, sans aucune machine industrielle et l’irrigation se fait grâce à l’eau de pluie récoltée dans de grands bassins en pierres sèches déjà existants et restaurés avec des méthodes traditionnelles.

Ce savoir-faire ancestral permet de réconcilier agriculture et biodiversité et c’est pourquoi on retrouve sur le domaine 163 espèces de plantes aromatiques et arbres fruitiers, 33 espèces d’oiseaux, 31 espèces de papillons, 8 espèces de libellules et j’en passe. Quand même impressionnant!

La maison, elle aussi, a été rénovée de façon à réduire au maximum les impacts. Ni chauffage, mais une isolation faite par l’extérieur des murs avec de la paille de lavande. Ni climatisation, plutôt un système de puits canadien, une sorte de dispositif géothermique.

Ce magnifique domaine est un laboratoire à ciel ouvert et l’idée est de tout utiliser, même le bois de rose après les récoltes. Annie Black, directrice scientifique internationale chez Lancôme (native de Trois-Rivières) m’expliquait qu’elle effectuait différents tests avec ce bois aux propriétés antioxydantes dans le but d’inclure cet ingrédient dans de futurs soins afin de les rendre plus performants.

Si mon histoire avec Lancôme ne date pas d’hier, celle de la rose non plus. Je suis depuis toujours spontanément attirée par son effluve et ma visite au Domaine de la Rose m’a appris non seulement à la cueillir délicatement, mais aussi à découvrir les techniques de distillation ainsi que l’élaboration complexe des parfums.

Au-delà de leurs soins ultra performants et brevetés, de la finesse des parfums et du développement durable, il est important de mentionner un autre volet incontournable chez Lancôme: le programme philanthropique, Écrire Son Avenir, qui s’est donné comme mission d’accompagner les femmes dans leur émancipation en leur donnant accès à l’éducation, au mentorat et à l’entrepreneuriat. Au Canada, Lancôme est en partenariat avec la Fondation Canadienne des Femmes.

Cette notion de bonté et d’entraide me touche particulièrement et s’inscrit dans une démarche de solidarité féminine qui m’est chère. Chez Lancôme, le bonheur est source de beauté. Et si le bonheur se cueille dans de petites choses de la vie, il prend tout son sens lorsque l’on devient maitre de son destin…

Ce merveilleux voyage dans le sud de la France puis à Paris n’a fait que confirmer une chose: Lancôme aime prendre soin, que ce soit des femmes depuis plus de 85 ans, de la biodiversité ou de l’environnement. Par le fait même, elle poursuit indéniablement cette notion de transmission pour les générations à venir…

Un énorme merci à toute l’équipe de Lancôme et une mention spéciale à la formidable Amélie Fortier-Cyr! Je rêve déjà d’y retourner et suis si fière de faire partie de cette belle aventure!

 

 

https://bit.ly/Lancôme-JulieduPage

Crédit photos: Gracieuseté de Lancôme & photos personnelles

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