Aux grands maux, les grands moyens ?

 

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À travers leur Histoire, jamais les humains ne se sont autant déplacés sur la Planète, ce qui augmente les risques de contagion de façon exponentielle.

Comme beaucoup d’entre vous, je suis avec intérêt et appréhension l’évolution du COVID-19.

L’administratrice en chef de la santé publique du Canada, la docteure Theresa Tam ou le directeur national de la santé publique au Québec, Horacio Arruda rappelent que le risque de propagation du coronavirus au Canada et au Québec est toujours faible, mais on sent tout de même un léger vent de panique à l’horizon. La paranoïa se transmet plus vite qu’un virus… On l’a vu avec ce couple de Québec et leur bébé de 21 mois qui présentait des symptômes de rhume alors qu’il avait été examiné par un médecin le matin même. La petite famille « indésirable » n’a jamais pu décoller pour Paris.

Selon le site de la santé publique du gouvernement du Canada, à la question « y a-t-il un risque de contracter le COVID-19 si je touche une surface qui a pu être contaminée ? », voici ce qu’on y trouve: “En général, les coronavirus ont une faible capacité de survie sur les surfaces et se propagent généralement par des gouttelettes respiratoires projetées lors d’une toux ou d’un éternuement. Dans le cas du COVID-19, les chercheurs poursuivent activement leurs recherches afin d’en apprendre plus sur le mode de transmission.”

On y indique également les mesures de prévention de base, notamment nettoyer et désinfecter fréquemment les surfaces couramment touchées…

Ce n’est pas faute de moyens, force est de constater que les milliers de chercheurs à travers le monde n’ont pas encore trouvé la clé du problème.

Nous sommes à quelques jours de la relâche dans la plupart des écoles du Québec. De nombreuses familles vont partir en voyage afin d’échapper à la grisaille de l’hiver et faire le plein de vitamine D. Lire la suite »

Impressions d’automne/hiver

IMPRESSION JULIE

Chaque année c’est la même histoire; j’ai du mal à me faire à l’idée que la belle saison cède sa place à l’automne. Voyons ce n’est pas possible, pas déjà! Adieu lumière, chaleur, fleurs, insouciance et petits verres de rosé…

Peut-on recommencer l’été svp, je n’étais pas prête?

Les mois de septembre et octobre sont souvent magnifiques, mais comment les apprécier à leur juste valeur alors que je sais ce qui me pend au bout du nez? Vous l’aurez compris, l’hiver est pour moi un passage obligé difficile! Ma bonne volonté et mon enthousiasme pour la neige et la saison froide sont vains! Imaginez mon choc et mon humeur cette semaine! Une tempête de neige un 11 novembre, vraiment? Rassurez-vous, ne serait-ce que pour mes enfants, je finis toujours par me calmer le pompon et l’accepter…

Cependant, je me rends compte que l’automne est une période transitoire et nécessaire à mon équilibre. Petit à petit je ralentis le rythme énergique de l’été afin de me recentrer. Je peux enfin me poser et prendre le temps.

C’est d’ailleurs dans ces moments que je suis la plus créative. Je peux également m’enorgueillir d’être une « pas pire » cuisinière (rappelez-moi de vous parler de mon pot-au-feu un de ces jours). Je fais le rattrapage en rafale de nombreuses téléséries et dévore des quantités de bouquins. L’automne est aussi synonyme de maison bien organisée; j’aime ranger, classer, faire de la place et donner au suivant. Madame Blancheville n’est jamais bien loin!

Récemment, alors qu’il pleuvait des cordes et que la météo prévoyait des flocons, j’ai décidé de sortir du placard les bonnets, mitaines, foulards, manteaux chauds de la famille. C’est là que j’ai redécouvert un carton que j’avais à l’époque précieusement remisé : une « boîte à trésors »…Lire la suite »

Janvier le terrible!

Si j’avais à choisir un mot pour qualifier le mois de janvier, j’utiliserais “réflexion”. Ce premier mois de l’année me fait chaque fois le même effet; celui d’une parenthèse ou d’une bulle nécessaire, mais étouffante. Un long lendemain de veille qui dure 31 jours où je me convaincs d’entamer ce nouveau cycle sur de bonnes bases. C’est dans cet état d’esprit de première de classe un peu fatigante que je décide de dormir encore plus, de manger encore mieux, de faire une cuisine plus variée pour ma petite famille, de ne pas boire une goutte d’alcool (maudit Dry January), de m’entraîner plus fort, de rester davantage à la maison, de tout réorganiser…

Cette hibernation consciente me donne l’impression d’être en “pénitence” tout janvier et d’attendre impatiemment février, où l’espoir renait, pour avoir du fun et revenir à une vie certes réglée, (pas le choix) mais ô combien plus palpitante! Comme si ce moment en “veilleuse” était inévitablement un passage obligé.

Il faut dire que notre cher hiver n’aide pas beaucoup. Ses caprices et sautes d’humeur (changements climatiques obligent) rendent le quotidien bien pénible… “On l’a pas facile” comme dirait l’autre, particulièrement cette semaine…Lire la suite »

À qui la mitaine?

HANDS HEART SHAPE SNOW

Pendant le temps des fêtes, avez-vous vu ou revu le film “Love Actually”? Je ne peux m’empêcher de sourire et de repenser à une anecdote familiale liée à ce classique du cinéma britannique. En effet, il y a quelques années je voulais le faire découvrir à mes enfants encore assez petits. Je ne me souvenais que vaguement de l’histoire, mais j’avais encore en tête l’agréable plaisir qu’il m’avait procuré. “A feel good movie”, parfait pour une soirée d’hiver.

Nous étions tous les quatre collés-collés sur le canapé, quelques bougies créaient une atmosphère tamisée, chaleureuse, le feu crépitait et une jolie petite neige tombait. L’ambiance idéale…

Dans ce film choral, nous suivons différents personnages dont les histoires s’entrecroisent et notamment celle de John et Judy que j’avais visiblement occultée et dont la pertinence n’est pas évidente. Je m’attendais à une soirée tout public! En fait, “Love Actually” n’est pas du tout un film de famille puisque ce couple interprète des doublures lumière de film porno qui simulent, de façon timide, (mais quand même) des scènes de sexe. Oh là, là! “Couvrez ce sein que je ne saurais voir!”Lire la suite »

L’herbe est plus verte chez toi et la neige plus blanche chez moi!

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J’ai connu Gabriella il y a 15 ans à Los Angeles. Tout comme moi, elle venait de s’installer là-bas et nous sommes rapidement devenues amies, voire complices. Le soleil de La La Land est trompeur, cette ville peut être dure, cruelle et ô combien factice. Je me suis souvent sentie seule, mais la présence d’amis comme elle, son futur mari et d’autres me donnait l’impression de recréer une petite famille. Un peu de baume au cœur…

Puis les aléas nous ont séparées, elle et moi. Mariages, enfants, mon retour à Montréal, son déménagement à Miami, etc. La vie quoi !

La semaine dernière, j’étais en Floride avec mes enfants pour la relâche. C’est facile de tricher avec Facebook et de croire que l’on reste en contact avec les gens, mais j’avais envie de reconnecter “pour vrai” avec mon amie. Le temps passe si vite…

Par texto en cinq minutes, nous avions convenu de nous rencontrer le lendemain dans un restaurant de Miami avec nos enfants. C’est aussi simple que ça !Lire la suite »